• Bilan alimentation Seignalet au bout de deux et demi

    Nous avons supprimé les laitages de vache complètement et nous mangeons depuis quelques mois l'équivalent de deux crottins de chèvre par semaine à 6 en fromage de chèvre ou de brebis bio pour le plaisir.
     
    Mon mari prend ses repas à la maison le soir et les weeks end, pas les midis. Les midis, il mange des sandwichs ou des salades composées qu'il achète lui même. Il consomme donc un peu de pain à la farine de blé en dehors de la maison.
     
    Quand nous allons au restaurant (une fois par moi) nous faisons aussi des écarts.
    Nous mangeons un morceau de pain et prenons un dessert (donc des laitages). Il nous arrive de consommer un welsh (fromage fondu), maintenant sans conséquence.
    Nous essayons de diner dans des restaurants de qualité, où les plats sont servis avec des légumes.
     
    Nous avons commencé le changement d'alimentation il y a deux ans et demi par l'éviction des laitages pendant un mois, stricte à la maison.
    Seule notre petite Ninon a montré des résultats spectaculaires : en une semaine elle ne se grattait plus, en deux semaines elle n'avait plus d'eczéma mais pour Louise, mon mari et moi, cela n'a pas été aussi flagrant.
     
    Au bout d'un mois, j'ai enlevé le blé et les aliments à base de farine de blé de notre alimentation.
     
    Au bout de six mois et après une cure thermale qui a achevé de faire évacuer l'eczéma de Louise, celle ci n'avait plus sa dermatite atopique.
     
    Ce n'est qu'au bout d'un an que je me suis rendue compte que mon mari n'éternuait plus à la saison des pollens.
     
    Il avait des problèmes de rhinites récurrentes qui atteignaient leur paroxysme à la saison des pollens.
     
    J'ai regardé le psoriasis qu'il avait aux coudes et ai observé qu'il a considérablement diminué (il en reste 1/20ième).
     
    Il n'a plus de pellicules et ne se lave plus les cheveux au ketoderm et au shampoing anti pelliculaire.
     
     
    Il n'a plus de dermite séborrhéique (aux ailes du nez, dans les sourcils et dans les oreille).
     
    Nous nous connaissons depuis 15 ans et je l'ai toujours connu avec ces problèmes, enfin jusqu'à il y a un an et demi maintenant.
     
    Cet été quand nous sommes revenus de vacances, il a fait très humide chez nous, il a mangé des sandwichs chaque midi et il s'est mis à renifler un petit peu de temps en temps.
     
    De mon côté, je n'avais plus de démangeaisons, plus de dysidrose, de ballonnements...
    Quand je bois du vin blanc, du vin blanc pétillant, ou beaucoup de fromage (d'agriculture conventionnelle), je retrouve mes démangeaisons, alors que j'en souffrais au moindre écart de laitages, orangina...
     
    Après avoir lu le livre du Dr Seignalet et bien d'autres ouvrages, articles sur le sujet,
     
    j'ai compris que les laitages de vache industriel contiennent des résidus de médicaments, d'antibiotiques, d'hormones et de vaccins et qu'outre le fait que c'est une nourriture extra riche (faite pour faire grossir un veau de 100 kilos en un an), mieux vaut ne pas en consommer en trop grande quantité.
     
     
    Nous consommons un peu de laitages de chèvre ou de brebis bio (ainsi que tous nos fruits et légumes, céréales...)
     
    Comme disait cet été un copain rhumatologue : "nous sommes inégaux devant la santé et ce qui fait réagir certains ne fait pas réagir d'autres".
     
    Concernant le blé, Le Dr Seignalet explique que ce sont des céréales mutées.
     
    Je connais une ingénieur bio chimiste qui a travaillé sur la mutation des céréales et qui m'a confirmé que les céréales sont mutées.
     
    Certaines pommes de terre ne sont plus seulement des pommes de terre mais aussi de la carotte. Il me parait tout à fait plausible que nos enzymes n'aient pas suivi le bouleversement alimentaire de ce 50 dernières années, c'est peu 50 ans pour une modification de nos enzymes.
     
     
    Je me dis que j'ai sans doute un problème d'intolérance au blé (j'avais mal au ventre quand je mangeais une demi baguette).
     
    Je suis aussi maintenant convaincue que notre alimentation reposant en grande partie sur le blé et le lait n'est pas assez équilibrée.
    C'est pourquoi j'ai réquilibré la proportion dans notre famille.
     
    Les filles consomment des pates à la cantine dans l'année, j'ai fait un dossier PAI pour éviter les laitages à la cantine mais pas pour le blé (trop astreignant).
     
    Elles supportent bien. Je rapporte leur pain.
     
    Mais cet été, sur la route des vacances, nous avons fait quelques écarts chez des amis (à l'apéritif) car ils avaient prévus des repas adaptés et les filles y ont réagit.
     
    Chez les amis, après deux et demi de régime, nous pouvons nous permettre des écarts sans conséquence, ou avec des conséquences très faibles.
    Nos amis nous demandent encore pourtant ce que nous ne pouvons pas consommer.
     
    Rapporter le dessert et notre pain, demander la sauce à part aide bien ! (Sauf bien sur si ils font une raclette) et consommer des pré et probiotiques pour renforcer votre barrière intestinale :
     
    Après tout cela, j'ai remarqué que quand je mange trop de tomates, j'ai des problèmes (mycoses, aphtes), je fais donc attention à ne pas avoir une alimentation acide.
     
    Je vous avouerai que j'ai fait attention à cela dans un second temps car nous avons procédé à notre rythme pour que le changement se fasse relativement facilement avec plaisir et sans frustration.
     
     
    « InvaliditéTomates »
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